L’écrivain Bernard Werber est passionné de futur et de science fiction. Il nous donne sa vision de l’Apocalypse.

Il ne croit pas aux prophéties d’une date fixée pour la fin du monde car il croit au libre-arbitre des humains. Fasciné par la fin de l’humanité, il raisonne en scientifique et voit des cycles différents se succéder dans l’humanité.  Pour lui, nous traversons actuellement une transition, à un passage vers autre chose. Il comprend les catastrophes nucléaires ou écologiques non comme des signes de l’annonce de fin du monde mais l’expression d’un besoin de changement.
L’éthymologie du mot “apocalypse” nous apprend qu’il signifie « lever le voile » donc la “révélation de la vérité”. Ce qu’annoncent les prophéties, c’est que les hommes ne sont pas prêts humains à voir la vérité et ce sera donc leur perte. L’homme aime avoir peur et la peur le fait évoluer. Mais il y a aussi la possibilité que tout se passe bien. 183 prophéties de fin du monde ont été recensées, dont celle de l’an 1000 : l’Eglise a alors récolté beaucoup d’argent sur la peur de l’Apocalypse, ce qu’elle a utilisé pour construire des cathédrales.

Une production : CFRT

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